Σάββατο, Οκτωβρίου 21, 2006

II. Stimulation


Divinités de la prime,

caressent les rayons de soleil
qui tombent
doucement,
aux bouts de ses doigts.

En plongeant
dans ses rêves derniers,
elle se rende
aux voix des anges aveugles,
qui coulent des mots,
des lettres charmantes
à ses oreilles…

C’est alors que la chante
c’est toujours des comptines
aux voyelles interdites.

C’est là où les statues ont toujours
des yeux blancs…

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