Παρασκευή, Οκτωβρίου 06, 2006

Le Chemin Rouge

 
Mes yeux se ferment
Je me perde…
Je n’existe plus…
Tout un rêve, un ombre.
En arrière, j’écoute
une porte fermant,
pleine de traces, gravée.
Derrière…
qui l’a gravé ?
Je manque la mémoire…
son son se perde
dans le temps...

Maintenant
Dans l’embrasse de la Méduse,
l’atrocité parfait,
des faces exsangues
dans ses larmes –
et puis
elle pleurait
et elle pleurait sans arrête,
sans de l’honte
ou de l’humiliation,
avec son cœur vibrant,
plus forte que jamais,
elle apprenait ses crimes brutaux –
en enfonçant un sabre de plomb
de plus en plus profondément,
dans sa destinée de malheur.

Un sourire triomphant
était dessiné á sa face
belle…


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